1- Allah n’est ni un corps, ni une substance, ni un accident, et ni une caractéristique des substances, ce qui entre en existence ne s’incarnent pas en Lui. Il faut affirmer que Lui, le Tout-Puissant, est Un, indivisible, qu’Il ne peut être divisé, Il n’est pas dénombré et Il est as-Samad, Il n’a pas engendré et n’a pas été engendré, et qu’il n’y a personne d’égal à Lui.
2- Les Attributs de l’Essence et d’Action sont aussi éternelles qu’elles-mêmes.
3- Faire le Tafwidh des mutashabiha (versets et ahadiths ambigus) parmi les Khabariyya (Attributs textuels) après avoir exempté Allah ‘azzawajel de toute ressemblance du sens qui vient à l’esprit.
4- L’interdiction de l’interprétation (ta’wil) sauf si elle émane du Prophète ﷺ ou de l’un des Compagnons. Par conséquent, ils ont accepté l’interprétation d’As-Saqq avec sévérité car elle a été rapportée sous l’autorité d’Ibn ‘Abbas.
5- Il n’est pas permis de dire qu’Allah est dans un endroit ou dans tout lieu. Allah était et il n’y avait pas d’endroit, puis Il a créé l’endroit, et Il est comme avant la création du lieu. Celui qui croit qu’Allah lui-même est partout ou dans un endroit est un mécréant.
6- Il est permis de dire « Ayniyya » (Où est Allah), c’est pourquoi on dit qu’Allah est au-dessus du ciel (al-‘Uluw, élévation), non pas dans le voie de la spatialité ni de se mélanger à Sa création, car c’est l’une des caractéristiques des choses émergentes, et le Créateur est au-dessus de cela.
7- La Parole d’Allah est éternelle, ni créée, ni émergentes, ni accidentelles, et ce sont des lettres et des sons éternelles, non successive car la succession ne s’applique qu’à ceux qui parlent avec des orifices et outils, et Allah est au-dessus de cela.
8- Décider que quelque chose est bon ou repoussant, fait parti de la législation.
9- Le premier devoir de la personne responsable est de connaître Allah.
10- La foi est un contrat par les cœurs, les paroles avec la langue et les actions avec les piliers. Elle augmente avec l’obéissance et diminue avec la désobéissance.
11- Les actions des serviteurs leur sont acquises et créées par Allah.
12- Celui qui obéit à Allah ne mérite pas de récompense et celui qui désobéit ne mérite pas de punition. Il a le droit de récompenser les obéissants par Sa Grâce et de punir les désobéissants par Sa Justice, et s’Il pardonne, alors c’est par Sa Générosité et Sa Patience.
13- Il ne ressemble à rien, et rien ne lui ressemble. Celui qui fait ressembler Allah à Sa création a mécru, tout comme celui qui croit qu’Il est un corps ou dit qu’Il est un corps mais différent des (autres) corps. »